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jeudi 1 octobre 2009

Le nationalisme chez Soral

Le camp des pays du Sud qui ne se soumet pas aux USA est représenté par les pays arabes - type Iran - ce que tous les intellectuels de gauches auraient applaudis pendant la guerre froide : le non-alignement.


L'extrême gauche empêche le nationalisme de gauche d'exister. Il n'y a que des nationalistes - Chavez, Poutine, l'Iran - qui résistent au mondialisme.

Il n'y a aucun racisme asiatique en France car il n'y a pas d'anti-racisme. Personne n'a crée de haine raciale. Les maghrébins ont toujours été victime du collectivisme lorsqu'on nomme les "beurs" ou les "noirs".

Tout le monde a le droit d'être nationalisme au monde, sauf les français.

- L'assimilation depuis Jaurès, c'est élever l'arabe de province etc... au niveau du progrès et de l'idéal français. On croyait qu'un arabe devenant cadre français était le progrès dans la logique matérialiste à la Jaurès.
Soral ne croit plus dans ce modèle III République de citoyens tout neuf. Le problème est de ne pas avoir le choix entre le communautarisme et l'assimilation dépassé.
Il faudrait donc accepter dans son sein d'accepter des origines diverses, sans renoncer à sa religion etc. Les maghrébins sont sincèrement patriotes chez Soral. [n'est pas trop naïf ? Je sais qu'il n'y a aucun Islam modéré, il ne faut pas nous prendre pour des cons. Soral ne donne que l'exemple du sport comme exemple de patriotisme, qui est une chimère totale, car le sport en compétition est un sous-produit collectiviste issu du socialisme].
La troisième voie, patriotisme français sans renoncer à la religion. Il y a bien eu des juifs patriotes, pourquoi pas le musulman.


C'est après Mitterrand qu'on est revenu au problème de Vichy, à la flagellation du français.