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mercredi 6 octobre 2010

Avocats et associations profitant de l'immigration

Avocat de l’immigration : un métier profitable
Chaque année, 20 000 avocats supplémentaires sortent des facultés : la judiciarisation de la société et des affaires ne suffit pas à créer un marché suffisant pour les faire vivre ; mais le développement de l’aide judiciaire et les contentieux de masse fournissent des débouchés précieux supplémentaires : à Paris, Versailles, Lille, Lyon et Marseille, près de la moitié du contentieux administratif relève du droit de l’immigration. Un contentieux d’autant plus important, qu’il est à la fois administratif et judiciaire. D’autres avocats se sont spécialisés dans les actions « antiracistes ».
Des dizaines de milliers de gens de robe vivent donc de l’immigration et militent pour une complexification croissante des lois, au nom bien sûr de la défense des droits de l’homme ; défense qui correspond à leurs intérêts bien compris. D’autres professions bénéficient du même effet d’aubaine : ainsi, Le Monde notait récemment qu’en matière judicaire « les pauvres manquaient d’interprètes »

L’économie associative
Des milliers d’associations maillent le territoire pour faciliter « l’intégration », « lutter contre l’exclusion » ou « combattre le racisme ». Là aussi, une multitude d’animateurs sociaux, de pédagogues et de sociologues trouvent des débouchés professionnels dans des structures subventionnées ; structures d’autant plus généreuses que plus une action échoue, plus elle a de chances d’obtenir des crédits supplémentaires car, loin d’être abandonnées, les actions sans résultats obtiennent des rallonges budgétaires.
Il y a là, au niveau local comme au niveau national, un terreau d’intérêts.