L’histoire d’un meuble. Il raconte les différents stades de sa fabrication et de ses usages.
Un monde où chacun possède une application à son image. Au delà de la plateforme, une quantité de sites/applications auxquelles on se connecte pour rentrer en contact.
Un personnage contemple une trace de merde dans les toilettes de son entreprise. Ils sont peut-être une dizaine d’employés hommes à avoir pu commettre cet acte étrange. Qui plus est, les toilettes sont en évidence et tout le monde peut contempler les aller-et-venus. Considération sur le monde du travail et la psychologie collective à partir de là.
Une confession sur la dure vie d'un hipster qui raconte à quel point le fait de vouloir toujours rester en avance fut fatiguant.
Un homme va petit à petit perdre l’usage du mot « je ». Et finir par ne plus se concevoir qu’à la troisième personne. Une espèce d’odyssée de l’homme le plus civilisé au monde, qui va jusqu’à se mettre lui-même parmi Autrui. Pour finir, comme César, à ne plus parler de lui qu’à la troisième personne. Quid alors de l’introspection. Et de répondre à la question : que gagne t-on avec le « je » ?