L'internet des objets consiste à numériser le monde physique en le truffant de capteurs et d'actuateurs qui vont permettre de sentir le monde physique à distance et d'agir dessus.
L'entretien de données informatiques implique de perdre du temps pour en gagner. La gestion des réseaux sociaux prend du temps.
Les individus sont tour à tour émetteurs, récepteurs et relais d'information.
Penser l'espace public à travers l'antagonisme de la libération des flux et de la privatisation des des sphères.
Il est possible de simuler tout déplacement par quelque moyen de transport que ce soit, recherche d'itinéraires etc. Simulation médicale, industrielle, de 'rencontre etc. Les Big Data permettent une expertise automatisée. Pour Baudrillard la simulation fait perdre le sens des réalités en créant une sorte d'hyperréalité dont le réel devient le modèle : l'hyperréel ne donne prise à aucun inconnu, et ferme les portes de l'imaginaire.
Stiegler. La technique est à la fois un remède et un poison. L'individuation technique nécessite les individus psychiques et sociaux qu'elle menace.
Chaque étape de l'industrialisation fait naître une industrie de l'imaginaire. Tout d'abord l'industrialisme de Saint Simon (la Science Fiction, la presse), puis Hollywood (industrie culturelle, radio et cinéma) et enfin la Silicon Valley (informatisation).
Marketing. Les marchés sont désormais des conversations , la communication est interactive dans un modèle many to many (et non push top-down). Enfin le traitement des Big Data conversationnelles collectées massivement. La source de l'information devient toute la masse des internautes et non la seule entreprise (les blogs influents etc.). Enfin la relation avec l'entreprise change avec l'écoute des conversations des clients.