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mercredi 23 juin 2010

Notes éparses sur l'immigration

Ils prennent la racaille pour le peuple. la paresse pour de la révolte, le vol pour de l’égalité, la violence gratuite pour de la liberté.
Le vrai peuple, celui des ouvriers et des salariés qui se lève à 5h00 du matin pour aller travailler, celui des petits blancs qui font tourner la France, n’éprouve pour cette gauche là, cette gauche qui l’a trahi et abandonné, que le plus profond mépris.

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Au nom de la tolérance, on nous invite à approuver bruyamment l’intolérance des autres à notre égard
BRUCKNER

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Ce qu’exprime Guillaume Faye quand il écrit qu’une société multiraciale est fatalement une société multiraciste.

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Alain Laurent

Voici comment Alain Laurent décrit la surprise de ce Français lorsqu’il redécouvre son pays, 30 ans plus tard :
• il est devenu un « Gaulois », terme dont il ne gardait qu’un vague et folklorique souvenir datant de ses jeunes années à l’école primaire.
• il lui est devenu presque impossible de retourner, si ce n’est à ses risques et périls, dans certains quartiers de banlieue qu’il a connus paisibles et accueillants, et métamorphosés aujourd’hui en enclaves où des bandes encapuchonnées font régner la loi de la jungle en toute impunité, où les taxis n’osent plus s’aventurer…
• il se scandalise d’avoir à payer, outre ses impôts, les  largesses de l’État-providence, le gouffre financier de la «politique de la ville», la réparation des dégâts d’un vandalisme devenu sport de masse, ou le coût des dépenses de sécurité supplémentaires.
• il réalise qu’écoles et hôpitaux, autrefois considérés comme des sanctuaires, sont devenus le théâtre de violences contre les enseignants, les médecins, les infirmières…, commises par des groupes de voyous ou des fanatiques religieux.
• il se résigne au fait que des pans entiers de son pays se sont tiers-mondisés
• il contemple, dans des quartiers qualifiés de «sensibles», des fantômes vétus de noir des pieds à la tête, des incendies de voiture devenus si courants qu’ils ne sont plus rapportés par la presse, des policiers qui tirent en l’air pour se dégager d’embuscades (du jamais vu même en mai 1968), des centres-villes mis à sac, des bus ou des métros attaqués comme les diligences de l’Ouest américain…
• son mode de vie est rejeté et moqué : il se fait traiter de « Céfran » ou de « sale Français ».
• se souvenant que d’autres immigrés sont déjà venus s’installer en France, sans être aidés en permanence, sans prétendre changer les usages du pays, tout en faisant l’effort de s’intégrer, il se pose la question : « en quoi les immigrés d’aujourd’hui sont-ils différents » ?
• il réalise péniblement que la France est entrée dans une ère de guérilla civile larvée, dont les autorités nient l’ampleur, mais dont la réalité est confirmée quotidiennement
• il souffre de devoir endurer sans mot dire le comportement insultant, la violence, la susceptibilité maladive et le machisme de certains jeunes hexagonaux qui vomissent tout ce qui de près ou de loin rappelle la France.
D’une telle énumération, Alain Laurent déduit que « l’opinion selon laquelle il y a trop d’immigrés ou encore le désir de revivre en paix et de voir préserver l’identité culturelle de sa patrie » n’est ni une tare, ni une maladie, ni une déviance.