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dimanche 28 février 2010

Eglise, pauvreté et démocratie

L’Église, ce n’est pas l’ordre, comme le croyait Maurras, mais le désordre : l’irruption de la poésie dans la banalité quotidienne. Et pas n’importe quelle poésie : la poésie de la folie.
L’orthodoxie, c’est la beauté, et la beauté est toujours subversive. Dans un monde qui est laid, elle est le scandale absolu. - Matzneff

La démocratie c'est l'auto-détermination du peuple par lui-même. Chose quasiment impossible dans les conditions actuelles d'exercice du pouvoir. Ce sont les hommes d'Etat qui proposent - mentent - aux citoyens un projet.
Les libéraux perdent car le citoyens n'a pas le choix du NON à l'Etat. Quoi qu'il fasse, des hommes politiques devront être élus.

Nul ne le niera : il y a beaucoup de pauvres aux Etats-Unis. Mais reste cette certitude  que toute intervention étatique n’amoindrira en rien le nombre des pauvres, qu’elle transformera des individus actifs et responsables en assistés, dépossédés du contrôle de leur vie et que loin d’améliorer le niveau de vie des Américains tout accroissement du rôle de l’Etat se traduira par moins de liberté,