« La baisse de la part de marché du cinéma français n'est pas forcément une mauvaise nouvelle. Car, dans le système de financement du cinéma français mis en place par le CNC, l'important est que le nombre d'entrées soit en hausse. En effet, le CNC prélève une part sur chaque billet. Plus le nombre de billets vendus augmente, plus les recettes qui viendront alimenter la production de films français seront importantes. »
Donc résumons :
1) Le cinéma français perd de l'argent, beaucoup d'argent. En effet, malgré la "part" (impôt, taxes) prélevée par le CNC sur l'ensemble des billets pour alimenter la production de films hexagonaux et le lobbying du tout-puissant Studio Canal, les films français n'attirent qu'environ un tiers des spectateurs.
2) Quand vous allez voir n'importe quel film, quel que soit son pays d'origine, vous participez directement au financement de l'abject cinéma hexagonal englué dans ses histoires de bobos pervers, de sans-papiers héroïques
Archives
-
▼
2010
(149)
-
▼
février
(29)
- Films février 2010
- Théorie des conflits (1)
- Les libertariens en folie
- Pourquoi l'entreprise ? Coase vs. Kirzner
- Résumons la question des voyous
- Les nivelles, le plein-d'être et le droit français
- Expressions du fascisme ordinaire
- La peste verte et le citoyen
- L'individualisme perverti en Occident
- Déclin de l'occident
- Eglise, pauvreté et démocratie
- Misère du cinéma français
- Nation et frontière
- Kant et Rousseau - Luc Ferry
- Pierre Legendre, le nazisme et le droit
- Constant sur le devoir et le mensonge
- La philosophie kantienne
- Communautarisme et individu
- Ionesco et les moutons féroces
- Médiologie et tribalisme - McLuhan
- Le cinéma selon Zagdanski
- L'individualisme, Vaquette et Stirner
- Les mauvaises valeurs contemporaines
- Tarde aujourd'hui
- Duchamp et Nabe
- L'Etat et sa dette
- Pérennité de la Nation
- Crise du logement et libre-échange
- Les dégâts du plan de relance US
-
▼
février
(29)