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mercredi 30 septembre 2009

Films sept 2009

Cinéma :
Non ma fille, tu n'iras pas danser **
District 9 ***
Fish Tank **
L'Armée du crime *
Rien de personnel **
L'affaire Farewell ***


Tv et Dvd :
Mission Impossible 3 *
Equilibrium *
La traversée de Paris *

dimanche 27 septembre 2009

Allègre

La météo ne prédit pas pour plus de cinq jours. Prévoir le climat sur un siècle est une imposture.

jeudi 24 septembre 2009

Humain donc capitaliste

Être humain à mon sens ce n’est pas vouloir se placer au-dessus des autres en décrétant un système applicable à tous. Le socialisme déshumanise car le pouvoir s’y obtient par la soumission à d’autres humains, la démocratie telle que nous la connaissons déshumanise également car le pouvoir politique s’impose aux minoritaires et aux majoritaires nécessairement cocus. Les hommes politiques ne gardent leur pouvoir qu’en s’appuyant sur certaines élites ou sur un population flouée, dans laquelle chacun croit pouvoir vivre aux dépens de ses voisins (dixit Frédéric Bastiat). Le capitalisme par contre n’impose rien à personne, nul ne peut y vivre aux dépens des autres et chacun y tire son avantage en servant les intérêts des autres.

Sans capitalisme la prédation règne, c’est pourquoi, moi aussi, je suis humain donc capitaliste.

Revel et l'échec scolaire

C’est bien visible, la loi du plus fort domine en France avec la consécration des politiquement forts sur les politiquement faibles, en outre si l’un des taux de criminalité les plus élevés des pays développés se situe là où l’État est le plus déresponsabilisant ne pensons pas à une coïncidence.
Le libéralisme est bien sûr tout le contraire de la loi du plus fort, que ce soit au niveau politique par le principe bien compris de subsidiarité, ou au niveau individuel par la principe de responsabilité. En France, ceux qui sont condamnés à des peines de moins de 10 mois ne les effectueront jamais et, quelque soit la condamnation, la victime ne sera jamais dédommagée.


[Revel] Écoutez ces jeunes dont micros et caméras recueillent les propos : ils ne s'expriment pas, ils répètent. Rien ne vient d'eux, de leur réflexion, de leur expérience, d'un jugement qui leur appartienne, tout vient d'un fonds communs de clichés qui traînent partout. Trois ou quatre formules stéréotypées, tirées du jargon ambiant, leur tiennent lieu d'originalité.
Abrutis par les clips de gansta rap, baignés dans "le grégarisme de la violence primate", ces pseudo produits de l'individualisme selon des sociologues ignorants, sont en fait des victimes d'un collectivisme de repli qu'ils ont intégré parfaitement.

http://libertariens.chez.com/pegre.htm

dimanche 20 septembre 2009

Les suicide de France Telecom

La reditribution forcenée qui exige que la moitié du pays travaille pour faire vivre l'autre moitié n'implique-t-elle pas une pression excessive sur les actifs, pressés comme des citrons par les charges sociales, le fisc et les impôts ? Sans parler de l'impact des 35 heures qui a véritablement désorganisé le travail et poussé la productivité horaire de chaque salarié un cran plus haut ? Si les pays bien plus libéraux que le nôtre (ce n'est pas difficile) ne connaissent pas de taux de suicide proche du nôtre, ce n'est pas la concurrence ou le capitalisme mais peut-être bien la pression de l'Etat qui explique ce mal-être général.

Suicides par 100.000 salariés (2008)

Enseignants : 39
Policiers : 35
Adulte 25/65 ans : 21
France Télécom : 11


a ) il s'agit d'une série de suicides par contagion, au sens épidémiologique du terme, par un mécanisme d'imitation morbide volontaire: le suicidé exerce ainsi une vengeance individuelle contre l'entreprise, et cette tentation augmente à mesure que l'épidémie s'étend.

Pour info, FT emploie 187.000 personnes (Orange est la marque commerciale) et 102.000 en France. On est à 22 suicides en 18 mois (18 pour 2009), soit un taux de suicide de 0.17‰ (pour mille, hein, pas pour cent) ... très comparable à l’ensemble de la France (10.122 en 2007 pour 64.000.000 de Français, soit 0.16 ‰ )

vendredi 18 septembre 2009

Notes sur Jasay

Nous sommes confronté à un rationnement de la liberté, de la culture, des biens publics etc.

Pour défendre un système, c'est qu'il faut le connaître et savoir pourquoi et à quoi on le préfère.

Les dépenses en nature par l'Etat providence contre la libre choix - en argent.

Le libéralisme défend le choix des individus contre l'autorité d'un l'intérêt général chimérique.

Le contrat social est faux car on ne peut que supposer les actes qui dériveront de l'installation d'un Etat. Réaction imprévisible de l'Etat au fil du temps.

L'échec du dilemme du prisonnier s'opère après une répétition de mauvaise coordination. Dans le cas du commerce, à force d'expérience, tous le monde échange et coopèrent sans autorité coercitive.

mercredi 16 septembre 2009

Deviance Typology

Un sociologue sur la criminalité aux USA, et sur les modes de régulations sociales : Robert King Merton.


lundi 14 septembre 2009

Cioran

"On n'habite pas un pays, on habite une langue". Cioran

N'oublions pas que Cioran n'est pas français, mais vient de Roumanie.

samedi 12 septembre 2009

L'Art subventionné

Rien de pire que l'inflation de brailleurs actuels protégés par un prétendu droit à la carrière artistique

Robin sur le 11/09

La théorie du complot s'invente a posteriori. On démontre le complot après coup, si il y a des preuves - ou si justement il n'y a pas de preuve - c'est que c'est troublant. On ne remarque que ce qui est remarquable.

Debray, l'intellectuel et le réac

L'intellectuel se distingue de l'écrivain car il a un projet d'influence. C'est ce qui le distingue des penseurs, des savants et des écrivains.
Le prête parle avec les hommes, le moine parle avec Dieu. L'intellectuel est donc l'héritier du prêtre.
C'est celui qui rend public son opinion privé.

Dans une société d'image, l'intellectuel devient très vite un acteur, celui qui diffuse des émotions à l'écran.

La dénonciation du pouvoir est totale chez les intellectuels français dans les années 1970. Fouclaut, Bourdieu, Barthes et toute la clique. Tous critiquent le pouvoir - la lange, les médias venant de l'Etat - et Debray critique cette vision naïve. Les intellectuels constituent aussi un pouvoir, c'est ce qui l'a fait sortir du milieu.

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Finkielkraut critique de Rousseau, qui apparaît comme le chef de file d'un certain progressisme : Le système est coupable,  l'homme est innocent, le progressisme vit et continue de vivre de cette dichotomie. Rousseau fixe pour la première fois à la politique une finalité et des buts absolument illimités, si l'homme est innocent originellement, alors en effet, tout est politique.

Tocqueville voit que la dynamique égalitaire peut détruire la liberté politique. La démocratie n'est plus l'espace du débat, le progrès des progressistes serait l'accélération du processus démocratique - contre tous les débats qui ralentirait l'égalitarisme Pas de débats sur l'immigration car les sentiments prennent le dessus, pas de débat non plus sur la Turquie en Europe qui apparait comme une exclusion contraire au progrès. Bref, plus de débat car la défense du progrès et de l'égalité clos toute discussion approfondie. Le réactionnaire est celui qui se dresse contre ce processus.

Debray a peur de voir le temps disparaître pour l'espace. C'est l'Histoire commune de l'humanité qui pourra pacifier nos rapports.

Finkielkraut revient sur l'opposition fondamentale de la médiologie : la transmission et la communication. La démocratie veut de la communication et de l'inter-activité. La mémoire identitaire est le lieu d'une intense compétition. La nationalité est devenu un ensemble de service sur un mode consumériste.

[Debray] La transmission est fondamentalement inégalitaire, suppose une discipline, suppose une collectivité. L'institution est la base de la transmission. L'enfant ne devient un adulte que si il vit avec des adultes. Vivre avec de grands enfants - les parents d'aujourd'hui - façonnera un enfant sauvage.

Le lien social est ce qui unit, et ce qui ligote. L'enfant a le droit d'apprendre, mais ne décide pas du vrai et du faux.

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Le 11/09 a mis en échec la passion du semblable. Une révélation d'une impénétrabilité entre les communautés humaines. Communication et commerce ne font pas la paix puisque on s'est justement attaqué à ces deux symboles.

vendredi 11 septembre 2009

Santé : US vs France

Le principal problème d'assurance santé américain, c'est l'étatisation massive et la corruption/lobbyisation généralisée des organismes en charge du contrôle, bien pire qu'en France (c'est dire).

Le principal problème d'assurance santé français, c'est là encore l'étatisation massive et l'absence totale de tout contrôle sur les dépenses, les budgets, l'immobilisme total de la classe dirigeante à ce sujet et de tous les acteurs de la chaîne (depuis les brancardiers jusqu'au ministre), le tout cimenté par des syndicats communistes trop heureux de conserver cette forteresse.

mercredi 9 septembre 2009

Un Randien anti-écolo

Nous savons d'où viennent les écologistes. La Gauche a affirmé autrefois que l'Etat pouvait nous rendre plus heureux. Plus il y aurait de gouvernement, plus prospère nous serions. Quand ceci se révéla faux, ils ont changé de disque. Soudain, ils ont commencé à condamner la prospérité en elle-même, et la place du prolétariat oppressé a été prise par les sujets opprimés du royaume des animaux, des plantes et des insectes. Nous avons adopté la pauvreté comme objectif politique, avec son propre code civique de l'éthique.

Depuis les temps immémoriaux jusqu'à avant-hier, l'Occident a considéré la nature comme son ennemie, et avec raison. Elle est dangereuse et mortelle. Pour pouvoir assurer notre survie, elle doit être domptée, taillée, maîtrisée, contrôlée. C'est la première tâche de la civilisation. Le premier pas vers la destruction de la civilisation est l'incapacité de comprendre ceci, ou le fait d'appeler cette attitude un péché.

http://herve.dequengo.free.fr/Rockwell/Rockwell1.htm

mardi 8 septembre 2009

L'intérêt général

Si l'intérêt commun existait, de toute façon le législateur ne saurait le satisfaire car les valeurs sont essentiellement subjective à chacun. Il y a donc conflit d'intérêt, de valeurs - qui ne saurait être réglementé par un être omniscient qu'est l'Etat.

Sur Cécile Duflot

Elle est hystérique comme toutes les militantes fonctionnant sur le principe : écolo-fémino-antiraciste.

Sur Maurras

L'action Française était un mouvement étrangement composite, renier par l'église en défendant le catholicisme. Le comte de Paris renie aussi l'Action Français. Ce mouvement était donc d'une anarchie fantastique qui pouvait se permettre de critiquer la société comme bon lui semble. Personne ne croyait véritablement à la monarchie là-bas. C'est un témoignage d'un ancien.

http://www.dailymotion.com/relevance/search/charles+maurras/video/xpeyh_charles-maurras_news

samedi 5 septembre 2009

Égalité des diplômes universitaires

L'Etat n'arrive même pas à garantir l'égalité des diplômes nationaux du supérieur, selon les institutions les l'espace géographique.
Pourquoi lui faire confiance lorsqu'il s'agit d'assurer l'égalité autre part, lorsqu'il s'agit d'organiser la vie sociale "justement" ; alors que les diplômes mêmes sont inégalement répartis.

vendredi 4 septembre 2009

Sur l'éducation

nous devons aborder la vie avec une dose suffisamment forte de scepticisme pour, une fois sortit de l'enfance, être capable - moralement et socialement - de remettre en cause notre propre éducation.

bref, la meilleur éducation est celle qui permet de la remettre en cause une fois passée l'enfance.

je dis qu'une éducation réussie se verra si les individus adultes sont prêts à remettre en cause des certitudes. Si ils sont assez curieux pour aller voir ailleurs - ce qu'on leur a déconseiller enfant par exemple.

l'éducation est cette idée de rendre un enfant septique sur ces propres connaissances acquises par la voie du maître.

Taxe carbone

L'impôt sert à subvenir aux besoins de l'Etat afin d'accomplir les tâches d'intérêt général.

L'impôt ne sert pas à orienter les comportement des citoyens, sauf dans une conception socialiste, qui, comme chacun devrait savoir, est vouée à l'échec.

jeudi 3 septembre 2009

La santé collectivisée

A la base, la santé n'est pas un bien public. Chaque homme/femme est propriétaire de son corps et dispose donc sur lui de tous les droits, y compris celui de se droguer ou de suicider. Les droits de propriété sur son corps ne portent préjudice à personne.
Il n'y a pas deux corps humains qui soient faits pareil, il n'y a pas deux santés qui soient pareilles.

Il ne faut pas une vitesse, pas deux vitesses, il faut 64.000.000 de vitesses en France et 300.000.000 de vitesses aux Etats Unis et 6.000.000.000 de vitesses pour le monde entier.

D'autres reprochent aux producteurs de soins privés de ne s'intéresser qu'aux maladies rentables.
(Contrairement à nos bons vieux hôpitaux publics, qui, comme chacun le sait, peuvent prendre en charge toutes les maladies orphelines par la magie des ressources communes illimitées.)

Et bizarrement les maladies rentables sont celles qui touchent le plus de gens c'est vraiment trop affreux!

mercredi 2 septembre 2009

Un géologue contre l'écologie

Le réchauffement climatique est un luxe des pays développé, une fiction ruineuse.

Quand j'essaye d'expliquer le réchauffement climatique à des gens en Iran ou en Turquie, ils n'ont pas la moindre idée de ce dont je parle. Leur vie se résume à survivre jusqu'au lendemain, à trouver leur prochain repas. La culpabilité écologique est un luxe de pays développé. C'est la nouvelle religion de populations urbaines ayant perdu leur foi dans le Christianisme. Le rapport du GIEC est leur bible. Al Gore et Lord Stern sont leurs prophètes.
La théorie du réchauffement climatique d'origine humaine, est la plus grande, la plus dangereuse, et la plus ruineuse manipulation de l'histoire. - Plimer

http://www.polemia.com/article.php?id=2334